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Guillaume Bottazzi - 紀堯姆.波塔茲 - ギヨム・ボタジ - БОТТАЗЗИ
WELCOME TO THE POETIC WORLD OF GUILLAUME BOTTAZZI
Asia & Europe & USA & Russia
MORE THAN 100 ARTWORKS FOR PUBLIC SPACES
ordered by museums, cities, ministries, investors and collectors.
Ces œuvres in situ révèlent de nouveaux paradigmes environnementaux
Art in situ, 1er gratte-ciel de France, Villeurbanne ©Guillaume Bottazzi
1. Pourquoi des espaces oniriques dans nos lieux de vie ?
Les œuvres in situ de Guillaume Bottazzi modifient notre environnement et font émerger de nouveaux paradigmes architecturaux. Pour Gaston Bachelard, l'imagination est fondatrice de la raison et de la perception.
C’est la raison pour laquelle l'imagination prime dans la création des espaces que nous occupons, puisque nous habitons avant tout des espaces oniriques. Notre imaginaire conditionne nos perceptions et nos pensées.
Ces espaces poétiques ne sont pas des lieux qui existent en soi, ils ne sont pas une enveloppe dans laquelle on vient s'enterrer ni un contenant objectif d'éléments. Ces espaces poétiques nourrissent notre créativité et stimulent notre construction.
Ces œuvres in situ créent des espaces dynamiques, des espaces habités par le vivant, toujours en lien avec le dehors et le dedans. Ces créations créent des espaces qui transcendent les lignes et l'espace utilitaire.
Emaux, Tokyo, Shirokanedai ©Guillaume Bottazzi
2. Des espaces imaginaires
Le concret et la matière qui révèlent nos rêves et l'esprit des lieux. Ils vont stimuler un imaginaire personnel ; et, pour pouvoir rêver, nous ne devons pas rationaliser. Par exemple, si nous regardons le plan d'une construction, nous ne rêvons pas ; mais si nous réinventons ce que nous voyons, nous nous approprions les lieux. Pour cela, nous devons y trouver de l’inattendu afin d’inscrire les espaces que nous fréquentons dans le registre de notre imaginaire.
Tout paysage est une expérience liée à notre imaginaire. L'imaginaire n'est pas une rêverie passive, mais se forme dans l'action - comme un enfant cheminant sur une ligne, en se rendant à l'école, peut imaginer marche qu'il marche à côté d'un grand précipice. Les espaces fréquentés nourrissent le passant en lui apportant une forme d’irréalité et le font rêver.
La plus grande peinture du Japon sur le Miyanomori IOnternational Museum of Art ©Guillaume Bottazzi
3. Créer des espaces évolutifs
La tridimensionnalité des espaces statiques est une illusion. La nouvelle physique et la physique quantique induisent l'idée que tout espace est évolutif. La nouvelle physique remet en question la tridimensionnalité des espaces statiques ; c'est le cas de « la théorie de la relativité » ou l'espace statique n'existe pas, mais c'est aussi le cas de la physique quantique pour laquelle les choses ne sont plus localisables.
La nouvelle physique a mis au jour une nouvelle dynamique de l'espace où l'espace onirique est la construction d'un espace dynamique qui apporte la joie d'habiter le lieu de vie. C'est un espace qui se transforme en permanence, un espace ouvert qui n'est jamais fermé, un espace qui évolue et qui surprend.
Tableaux de 200m² Paris La Dense ©Guillaume Bottazzi
Guillaume Bottazzi / Journees du Patrimoine 2017
par Journées européennes du patrimoine